le velo au feminin

Ca s'est passé le vendredi 5 juillet

Un bon petit déjeuner et Madeleine va bientôt prendre contact avec le Béal, le premier col escaladé de sa vie. Une première donc. 

Jean-Gildas est prêt, il a enfilé la tenue cycliste de son club, après une semaine dans son rôle d'accompagnateur. Il a loué un VTT à assistance électrique. La montée sera plus aisée.

Des escargots dans une couronne de verdure. Des gastéropodes à coquille ? On dirait...

Au sommet du Béal, un panneau annonçait une course cycliste le 6 juillet. Heureusement que nous n'avions pas choisi ce jour-là pour pique-niquer au sommet du col.

• "Allez Frédérique, le sommet est là, tout proche !"
• Jean-Gildas en termine, bien content. 
• Sur son tricycle, Christelle a dû peiner avec le poids de l'engin à hisser jusqu'au sommet.

Les trois filles du club d'Hillion, heureuses, satisfaites de leur exploit au septième jour  d'efforts consentis avec le sourire, comme leurs copines représentant avec elles 17 clubs costarmoricains. 

Lydie absorbée par son téléphone devenu un passe temps pour beaucoup : messages, photos, réseaux sociaux... 

Les filles du club de Saint-Cast : même taille, même plastique...

Vous voulez savoir ce que leur a dit Annick en prenant la photo et en plaisantant : "les miss France d'occasion."

Pendant le pot offert par le Codep 22 : La plus jeune et la moins jeune ont trinqué ensemble. Le vélo se pratique à tout âge et seul l'entrainement adapté permet de se faire plaisir.

Les effets du soleil ! 

Ca s'est passé le samedi 6 juillet

L'un des chalets des "Quatre vents" et vue sur le Béal depuis ce chalet qui peut loger 4 personnes, à droite et à gauche. Au centre une cuisine aménagée. 

Dans l'ancien bâtiment il y a deux étages et quelques  pigeonniers où il était possible, pour certains,  de roucouler😂... 

Le midi, pendant le pot offert par le centre nature. 

On s'amuse  avec un bouclier...

Le soir... Edith tout sourire ; Edith la boudeuse... C'était pour rigoler.  

Quand la fatigue arrive, difficile d'y résister...

Une fois... et on recommence. Ca ne coûte pas grand chose, qu'une petite suée...

Derrière chez moi y a un bois, le plus joli des bois...

Il ne faut pas se mêler les pinceaux... Jean-Gildas n'a même pas perdu les pédales...

Ca s'est passé le dimanche 7 juillet

Sur la route du retour, du côté de Clermont-Ferrand...

Devant file le car...

On ne peut vraiment plus se passer de cet outil... Si c'était une pioche... le plaisir ne serait pas le même... et il y aurait moins d'empressement. 

Fin... Il y a toujours une fin...

Ca s'est passé le mercredi 3 juillet

En attendant le passage des groupes, il est bon de s'occuper, observer, regarder à ses pieds... et ne pas écraser, par exemple, le mollusque qui transporte courageusement sa maison.  

Planquée derrière les hautes herbes, la photographe épie, parfois, espérant réaliser un cliché exceptionnel. Mais celui-ci est "bof". 

Pendant la pause déjeuner à Chambon/Voueize, discussion sérieuse entre Marie-France et André. On n'en saura pas plus...

Ca s'est passé le jeudi 4 juillet

A Saint-Agoulin, le ravitaillement est présenté sur une table, les accompagnateurs attendent les filles. Dans son arbre , perché, un oiseau  rouspète. On n'a jamais su pourquoi. Le moineau, si s'en est un, voulait peut-être nous voir partir au plus vite et récupérer des miettes.

Et voici  Annie, la première de son groupe à poser pieds sur le bitume. Elle est  souvent devant, mais cela lui convient et aussi à son équipe.  Il parait qu'elle roule plus vite que ses copines. Elle voulait être avec celles  de son club de Langueux. 

En attendant les plateaux repas à Maringues, séances relaxation, positions   décontractantes ou détentes favorisant la circulation retour. 

Suite à un contretemps, les plateaux repas ne sont jamais arrivés à Maringues, seulement un peu tard aux "Quatre vents". Ce qui ne provoqua aucun remous. 

Il y a toujours des solutions et la meilleure fut de manger les restes stockés dans la camionnette assistance stationnée pour l'occasion à Port-Astier. 

• Confidences entre Christelle et Marie-France, les capitaines du groupe 3 ? 
• Les restes bons pour les poules.

Nouvelle attente  tout près des "Quatre vents". Une fourmilière a été découverte où les reines et le couvain sont en sécurité. En principe, à moins de donner un coup de pied dans le tas et désorganiser l'habitat...
Nous avons laissé tranquille la classe ouvrières qui aurait été la première touchée. 

Dans le parc des "Quatre vents", nombreuses photos ont été prises au pied du panneau centre nature. 

Les filles du "club cyclo du Ninian", à Plémet : sondage, appréciations et "je m'en fous"...

Après les efforts, le réconfort... Il suffit de signaler sa présence pour couper le fil  d'une conversation et déconcentrer un groupe. "On disait, quoi ?..."

Une tique sur le genou de Marie-France, une bestiole à ne pas conserver...

Le soir de la dernière étape, lever son verre c'est tout un symbole.

A suivre...

Ca s'est passé le lundi 1er juillet

Hôtel Kyriad à Cholet : Christelle rassemble les Formules 1 du groupe 4 ; le groupe 1 s'est rangé par ordre de taille.

On se permet même de lâcher les commandes à Saint-Clémentin...

L'abbaye Saint-Jouin-de-Marnes, un bel édifice.
Les groupes 3 et 4 se sont réunis avant de filer vers Moncontour, pause déjeuner.

La sieste d'Antoine du côté de Lencloître, en attendant le passage des Dames. Sieste de courte durée. Les groupes roulent bien, c'est plat et vent dans le dos.  

Débris perdus sur la route, alors Antoine range ce qui gêne...

Ca s'est passé le mardi 2 juillet

Quand les filles aperçoivent les accompagnateurs, les bras se lèvent et de grands sourires illuminent les  visages. 
"Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup, il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne, il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel." Citation de Raoul Follereau. 

Le club d'Hillion main dans la main, enfin presque...

Pause déjeuner sur l'herbe à Nuret-le-Ferron, à l'ombre des grands arbres. 

A suivre...

Elles se sont côtoyées plus d'une semaine durant le voyage itinérant "Saint-Brieuc - Aubusson-d'Auvergne", entre le 29 juin et le 7 juillet 2024.
Deux semaines plus tard, elles se retrouvent à Roanne au cours de la Semaine fédérale.

Grâce aux voyages itinérants organisés depuis 2012, des amitiés se sont créées, dans l'effort et après. 

Mercredi 24 juillet, elles se sont revues lors du pot offert par le Codep 22, au Scarabée à Roanne. 

Elles se retrouvent aussi sur  les points de ravitaillement ; elles se croisent ; elles communiquent grâce à WhatsApp. Par exemple, Edith a demandé hier après-midi  à quelle heure avait lieu le pot du Codep. Une minute plus tard, Nicole lui  fournissait l'info. 
Une information que la secrétaire du club d'Edith a oublié de communiquer...🙁

Le secteur est vallonné, il fait chaud...

"Nous aussi nous en avons plein les yeux et plein les guiboles...", a dit Marylène.

Le col du Bouchet, ce n'est qu'une taupinière...😂🤣

Pendant ce temps, dans le Cantal, en dehors de la Semaine fédérale, Christelle se tourne les pouces suite à une entorse. 
"En randonnée dans le Cantal, je me suis tordue la cheville en faisant un roulé-boulé. Résultat : une entorse et plus de vélo. Alors piscine et lecture. Et petites balades avec les béquilles."

Bon rétablissement Christelle. 

Ca s'est passé le dimanche 30 juin

Le local des vélos à l'hôtel "Bel Air" à Crevin. 

Les vélos ont été rangés dans un lieu sûr la veille. Il en sera ainsi le soir de chaque étape. Mettre les vélos dans un local verrouillé est l'une de nos priorités. 

Il se passe quoi ? Rien ! Ici, le groupe 2 est à l'arrêt ; le groupe 1 roule.

La camionnette assistance marque toujours un arrêt quand un groupe est immobilisé. Ici, personne n'a réclamé quoi que ce soit. 

Pause ravito au Grand-Auverné : Marina a fait appel à Antoine qui a vérifié les freins à sa demande. Apparemment rien de cassé, pas de câbles  détendus, les patins ne touchent pas les jantes... 

La pause déjeuner à Ancenis, près de la Loire, dans un parc ombragé.  Il fait très chaud. 

Avant de quitter Ancenis, il est primordial de protéger la peau exposée au soleil. 

Une bosse dans Montrevault, et hop pieds à terre ! Ou c'est le feu rouge qui motive à pousser le vélo ?

En attendant les passages échelonnés des filles, il est permis d'observer autour de soi...

A suivre...

Ca s'est passé le samedi 29 juin

Alain Barbedienne, président du Codep 22,  et Madame Orain, conseillère communautaire à Ploufragan, sont venus encourager les 36 participantes à ce quatrième voyage itinérant. 

Distribution des chasubles aux participantes et accompagnateurs. Joli vêtement, très voyant. C'était le but.

Marina sans casque ? Comment se fait-il !  

Elle l'a tout simplement oublié. Elle va le récupérer à Saint-Vran, pendant la pause, apporté par Jean-Charles. 

Le petit chien blanc tout poilu et soyeux est venu encourager sa maîtresse à Saint-Vran. Il  reconnaîtrait Huguette entre mille...

La plus imposante camionnette transporte bagages et ravitaillement.

Selon le conseil de Marylène la veille, deux chaises ont été ajoutées au chargement de l'autre camionnette. Une bonne idée, parce que rester debout des minutes et des minutes, et encore des minutes en attendant le passage des groupes est une fatigue supplémentaire facile à éviter.  

Les chaises ne seront plus sorties. Après une première expérience, les accompagnateurs ont préféré faire le planton tout en se déplaçant...un peu, et ainsi mieux voir les vestes fluo approcher. 

Annie du groupe 4, roule souvent devant, détachée de son équipe, facilement repérable avec sa position de factrice. 

Nous sommes à Paimpont, au moment du déjeuner sur l'herbe. 

• Madame est servie : plat spécial, présenté avec le sourire, accepté avec un soupçon de surprise.
• On dirait qu'Annie cherche toujours à dominer... 
• Un petit oiseau est venu chercher à manger.
• Qui a l'orteil gauche emmaillotté ? Une détective presque privée a vu qu'il appartient à Louisette.
• Et si c'était un trèfle à 4 feuilles ! 
• Même les infusions sont au diapason.
• Préparation du café de façon rudimentaire mais efficace.

Elle a l'air renfrogné ! Et pourtant, elle s'est bien plu. 

Moralité : ne jamais se fier aux apparences. 

Le détail qui empêche de voir l'ensemble. On va dire que c'est "l'arbre qui cache la forêt"...

Pour les curieux qui veulent voir tout le monde et compter si elles sont réellement 36.

Le soir, avant le service du dîner...

A suivre...

Samedi 6 juillet, pas de sortie vélo au programme.

A chacun de s'occuper à sa façon : bain bouillant, sauna, hammam, marche, Tour de France à la télé... Accueil du car ; chargement des vélos... 

Présentation du centre nature les "Quatre vents", domaine de la Fédération française de cyclotourisme  : 

Le spa de 4 à 5 places est un bain à remous à 35°. Il permet de se détendre et d'apaiser l'organisme.
A côté, le sauna finlandais, chaleur sèche avoisinant 80 à 90° pour un assouplissement des muscles. La séance permet aussi d'éliminer les toxines.
Le hammam, chaleur humide sous forme de vapeur parfumée aux essences d'eucalyptus. La température modérée de 50 à 60°, procure relaxation qui détend les muscles. 

Avant le déjeuner, les "Quatre vents" ont offert l'apéritif. 

Un brevet aurait dû être déposé ! 

L'après-midi, une équipe est allée marcher. une autre a suivi le Tour de France... 

Puis le car est arrivé vers 16 heures. Il était attendu plus tard...

Il a plu ! Et puis il va pleuvoir plus tard...

La solution : reculer avec la remorque et rentrer par le côté en haut, toujours en marche arrière. 

Pendant ce temps, les courageuses marcheuses sont sous la flotte : elles ne vont pas se plaindre, vous savez tous qu'elles font du cyclotourisme sous n'importe qu'elle temps sans riposter. 
Le vélo, quelle belle leçon de vie ! 

Les vélos vont être chargés, la majorité dans la remorque et quelques-uns dans les camionnettes. 

La soirée fut consacrée aux récompenses et distinctions

• Les accompagnateurs furent les premiers appelés. 

• Ensuite, les organisatrices du voyage itinérant.

Il y a un énorme travail en amont : préparer les circuits ; chercher et réserver restaurants et hôtels ; dénicher les endroits des pauses ravito ; reconnaissance des parcours...

Et j'en oublie.

Les nouvelles, celles qui ont découvert le voyage itinérant. Elles sont sept. 

Celles qui ont participé aux quatre voyages itinérants depuis 2012. Elles sont quatorze. 

• Les plus jeunes, elles sont cinq.
• Et Madeleine, la plus âgée, 76 ans.

Nous avons eu une pensées pour nos équipières des années précédentes, disparues bien trop jeunes : 

• Gilberte,
• Martine,
• Monique. 

Elles ont calculé la moyenne des participantes à ce VI 2024 : 67 ans.   

Une fin de repas bien agréable avec notre musicien-chanteur et ses assistantes :

Et puis, il y eut l'après...dans le salon de thé...avec les couche tard...

Ce voyage itinérant fut une réussite totale avec des filles de bonne humeur, bienveillantes, reconnaissantes...  

Chacune est unique mais elles sont toutes exemplaires. On les reprendra 😂.

Sans oublier les accompagnateurs qui furent au top.

A suivre... les photos inédites. Merci de patienter jusque mardi prochain. 

Vendredi 5 juillet, ascension du Béal

Septième jour d'efforts pour une trentaine de femmes prêtes à escalader le col du Béal culminant à 1387 mètres dans les monts du Forez.  C'est un endroit qui se prête bien à la pratique de la randonnée, du cyclisme et du ski de fond. Le site dispose d'une auberge, d'un gîte et d'une boutique proposant des produits locaux. 

Ce midi, Marina s'en va, rentre chez elle pour être présente dimanche au baptême de son petit fils.  

Le groupe 4 étant pratiquement inexistant, ce vendredi il n'y aura que  trois équipes à se lancer vers le Béal. 

• Le groupe 1 a récupéré Antoine,
• Le groupe 2 a récupéré Jean-Gildas,
• Le groupe 3, a  accepté Marie-France et Lydie de l'équipe 4. 

Le sommet du Béal. 

André a transporté les plateaux repas et il attend l'arrivée de tout le monde avant d'étaler sur une table les différents plats.

Madeleine, club de Mur-Guerlédan, a hésité hier avant de prendre la bonne décision. "Si je n'essaie pas, je vais regretter..." 
Autant essayer ! Elle a réussi à se hisser jusqu'au sommet malgré un braquet pas adapté. Honnête, elle a dit une fois au sommet : "je me suis arrêtée 4 fois dans la montée. J'ai marché un peu..."

La photo de famille au sommet. 

Le pique-nique s'est déroulé comme les jours précédents : dans la bonne humeur et en plus,  le bonheur d'avoir  escaladé le Béal. 

Fred, cyclo de Saint-Etienne est arrivé au sommet au bon moment. Il a trouvé son repas.

Les femmes venues avec la navette des "Quatre vents", conduite par Annie, ont escaladé un bout de montagne avant de rentrer. 

Sur la route du retour, elles ont croisé le lac d'Aubusson-d'Auvergne...

Ce lac se situe à 410 mètres d'altitude, en moyenne. Il est principalement alimenté par le ruisseau du Couzon, affluent de la Dore. La base de loisirs fut mise en eau en 1990.

Le soir, aux "Quatre vents", le Codep 22 a offert l'apéritif à l'équipe du voyage itinérant, à la secrétaire présente à l'accueil et au cuisinier. 

Plus tard, pendant le repas, Yvonne et Antoine ont animé la soirée. 

A suivre...